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| Dans une usine Suncor, près de Post McMurray, en Alberta, au Canada, en 2014. Todd Korol/REUTERS |
La plongée de l'or noir augure d'une descente aux enfers pour la region canadienne pétrolifère de l'Alberta, qui guarantee à elle seule 80 % de la creation énergétique du Canada, et dont la prospérité rest reprise largement sur l'exploitation de ses sables bitumineux.
Avant même l'accord intervenu entre les Etats de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et ses partenaires, le 12 avril, certaines compagnies importantes telles que Bonterra Vitality, Athabasca Oil, Suncor ou Cenovus annonçaient, dès le début du mois d'avril, une réduction de leur creation, allant parfois jusqu'à 50 %. Parallèlement, elles suspendaient le versement de leurs dividendes aux actionnaires et procédaient aux premières mises au chômage temporaire. La withdrawal de leur activité a provoqué des répliques immédiates parmi tous les sous-traitants de cette industrie
Si les coûts factors de l'exploitation des sables bitumineux sont moindres que ceux du pétrole de schiste américain, et permettent donc from the earlier aux entreprises albertaines de continuer à produire à perte pendant quelques semaines, les in addition to petites d'entre elles pourraient ne pas avoir les reins assez solides pour tenir le overthrow. La majorité des specialists s'attendent à ce que les prix remontent, mais personne n'est skilled de prédire quand et surtout s'ils regrimperont à un niveau économiquement reasonable.
Blast du chômage, déficit
« Nous sommes en landscape inconnu, nous naviguons à vue », reconnaissait, le 15 avril, avant même le stupendous plongeon de ces dernières heures, le chief ministre conservateur de l'Alberta, Jason Kenney. Child gouvernement avait bâti child spending plan 2020 sur l'hypothèse d'un baril de pétrole à 58 dollars (53,50 euros) et une croissance de 2,5 %, promettant même un retour à l'équilibre des comptes dès 2022
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